Jury en design graphique : une expĂ©rience qui m’inspire pour accompagner les projets des TPE,
des artisans et des tiers-lieux.
INTRODUCTION :
La semaine dernière, j’ai eu l’opportunité de participer en tant que présidente de jury d’examen de Bachelor 3e année en design graphique.
Dans un cadre professionnel (que je garde ici confidentiel), j’ai évalué 4 projets complets, présentés par de jeunes designers en fin de parcours.
C’était une journée riche, humaine et stimulante — et étonnamment, elle m’a aussi rappelé beaucoup de choses que je rencontre au quotidien dans les projets que je mène pour des TPE, des tiers-lieux, des artisans ou des associations.
Alors aujourd’hui, je partage ici ce que cette expérience m’a appris, et comment cela résonne avec les enjeux de communication des petites structures.
Lorsqu’un étudiant me présente une identité visuelle, je ne regarde pas immédiatement les couleurs ou les formes.
Je me pose d’abord une série de questions : Quel est le message ? À qui s’adresse-t-il ? Est-ce que le ton est juste ? Est-ce que l’univers visuel sert bien le propos ?
 C’est exactement le même travail que je mène avec mes clients, qu’ils soient artisans, gérants de tiers-lieux, ou entrepreneurs.
Avant de créer quoi que ce soit, je m’imprègne de votre histoire, de vos valeurs, et des personnes que vous cherchez à toucher.
Parce qu’un bon visuel, c’est d’abord un message clair.
2. Une génération déjà tournée vers les enjeux d’avenir.
Ce qui m’a profondément marquée en tant que jury, c’est de voir à quel point la nouvelle génération de graphistes prend déjà à bras-le-corps des sujets de fond, qui touchent à l’avenir du design — et bien au-delà .
– L’intelligence artificielle n’est pas vue comme une menace, mais comme un outil de crĂ©ation, Ă apprivoiser et Ă intĂ©grer intelligemment dans les processus graphiques.
– La 3D devient un nouveau langage visuel, explorĂ© non pas pour faire “joli”, mais pour servir des idĂ©es, raconter autrement, crĂ©er de nouvelles expĂ©riences.
– L’accessibilitĂ© n’est plus une option technique : c’est une vraie rĂ©flexion en amont sur l’inclusivitĂ©, la lisibilitĂ©, la diversitĂ© des publics. Et ça change tout.
 Enfin, le choix des sujets eux-mĂŞmes (comme le cyber harcèlement des femmes dans le gaming, dans un des projets prĂ©sentĂ©s ou l’intĂ©gration des familles et des aides soignants dans le quotidien des personnes âgĂ©es…) montre une vraie volontĂ© de mettre le design au service de causes sociales.
En tant que professionnelle, ça m’interpelle, ça m’inspire — et surtout, ça me rassure.
Le graphisme de demain ne sera pas seulement esthétique ou marketing : il sera éthique, responsable, et connecté à la réalité.
Et cette manière de penser le design, je la retrouve aussi dans les besoins de mes clients : des structures humaines, locales, engagées, qui veulent une communication utile, sensible et alignée avec leurs valeurs.
 3. Les erreurs graphiques que j’ai souvent vues (et que je vous aide à éviter).
Comme dans tout projet créatif, les étudiants ont aussi montré certaines failles… qu’on retrouve parfois aussi chez mes clients avant qu’on travaille ensemble :
- – Un manque de cohĂ©rence graphique d’un support Ă l’autre 
- – Une certaine timiditĂ© graphique : des choix trop prudents, peu affirmĂ©s 
- – Des problèmes de mise en page : mauvaise gestion de grille, Ă©quilibre visuel fragile 
Mon rĂ´le de graphiste freelance, c’est d’éviter ces Ă©cueils, et de t’accompagner pour construire une identitĂ© visuelle solide, vivante et professionnelle.
Celle qui reflète vraiment ton activité, tes valeurs, et qui inspire confiance à tes clients ou usagers.
4. Jury d’un jour, accompagnante toujours.
Être jury, c’est un rôle de transmission.
Il faut écouter, analyser, conseiller, tout en laissant la personne en face s’exprimer librement.
C’est aussi comme cela que je conçois la relation avec mes clients :
- – Je te guide 
- – Je t’aide Ă structurer votre image 
- – Je t’explique les choix graphiques 
- – Et je te donne les outils pour ĂŞtre autonome ensuite. 
Le graphisme n’est pas un vernis : c’est une construction partagée.
5. Vous êtes une structure locale ou engagée ? Je peux vous accompagner.
Je travaille avec des TPE, des artisans, des indépendants, des associations, des tiers-lieux, des collectivités locales…
Tous ont un point commun : le besoin d’être visibles, clairs, alignés avec leur mission. Et souvent, le besoin de faire simple, beau, et juste, sans se perdre dans les effets de mode.
Si tu cherche une graphiste à l’écoute, expérimentée, et investie dans les projets humains et responsables, je serais ravie d’échanger avec toi.
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Conclusion
À la fin de cette journée de jury, j’étais sincèrement inspirée par la nouvelle génération de designers.
Leur regard, leurs outils, leur engagement m’ont reboostée dans ma propre pratique.
Et cela m’a rappelé que le design n’est jamais une finalité : c’est un outil de transformation, de transmission, et de lien.
Entre une idée, un message… et les gens que tu veux toucher.
Vous vous posez aussi des questions sur votre image de marque ?
Et si tu fais comme ces jeunes designers :
un pas de recul, un regard neuf, un petit diagnostic ?
Je te propose un mini-audit gratuit de ta communication visuelle (3 questions simples, 5 minutes).
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